Pour la petite (très longue histoire), il est à savoir que  Luc est un activiste de la scène alternative locale de longue date. Il a, comme de nombreuses personnes, commencé la musique et monté ses premiers groupes au lycée. D’emblée, cette activité lui a fortement plu, il prenait donc le management des ses groupes en main. Sa première formation, Dream Shaper, avait plutôt bien tournée dans le coin. Surmotivé par cela, le jeune-homme se décide à développer un peu ce type d’activité et a monté l’association Burnig Side avec quelques potes. Celle-ci a fait jouer Loftöver Crack, twisted minds, sixtoys, side issue, Freygolo, Exxon valdes, pobox et de nombreux autres groupes sur la Belgique, le Luxemburg et la France.

C’est à cette époque qu’il a monté No More No Less. Le groupe est parti sur les chapeaux de roues puisqu’en deux ans et demi d’existence, les 3 jeunes gens ont produit une vingtaine de morceaux et fait une soixantaine de date dont quelques festivals et premières parties plus que sympa. Burning Side est morte entre temps et notre ami a voulu se recentrer d’avantage sur la pratique musicale. En effet, Burning Side réalisait également des ateliers de jonglage, de graff, de percussion et des démonstrations de skateboard. C’est ainsi que La Chaise Musicale a vu le jour le 5 octobre 2005. Il s’agissait (comme vous pourrez le constater en parcourant ce site) d’un énorme chantier avec beaucoup de travaux et de rénovations. Depuis 7 ans maintenant, La Chaise Musicale réalise également l’événement Tout pour tous à Tucquegnieux. Quoi qu’il en soit, l’activité musicale de Lucky s’en est gravement ressenti et s’est même carrément estompée. Le groupe No More No Less s’est bien reformé il y a 3 ans mais entre les activités personnelles et professionnelles des uns et des autres, le groupe n’enchaine que 5 à 6 concerts (et à peine plus répétition) par an. Il s’agit certes de belles dates (avec Mute, les cadavres, Les Ramoneurs de Menhirs, nine eleven et quelques d’autres) mais ce n’est pas assez au goût de notre petit bonhomme. 

Tout cela pour en arriver au fait. Il s’agissait donc d’une envie de se faire un petit plaisir perso : enregistrer un album tout seul en y jouant tous les instruments chez son potos Max au Full head studio.

Un premier morceau a été enregistré en mars 2012 pour voir si le projet était viable. Il s’agit de Discours Galvanisant qui est sorti juste avant les présidentielles de 2012 et qui est écoutable ci-dessous.

Lucky est actuellement en studio (depuis décembre 2012 !!!!!!!!!!! –> le loser). Toutes les prises sont finies depuis janvier, il ne reste plus que le mixage et le mastering à faire…. Mais comme Mr Max n’a plus le temps depuis que c’est une pop-star, une galette de 11 titres sortira donc sous peu… Un de ces quatre,  il n’y aucun impératif temporelle si ce n’est l’impatience.

Le but est de proposer un double projet…. A suivre.

Bandcamp NMNLTTLL 

et le petit clip (vraiment tout pourri) qui va bien…. Et les paroles (très important…. niarf niarf niarf)

PAROLES : 

Pour l’heure, il faut recommencer, se mettre à potasser, il y a une nation à usurper. 

2012, fin du rêve programmé, pourquoi ne pas la défier et se dire que l’on va perdurer, ne pas réveiller. 
Messieurs, l’ordre du jour est inchangé, similaire en tout point à ce qu’il a été par le passé : « partir en campagne armés de hargne et de bravoure(, mais) certainement pas (NON !!!)de franchise ni d’amour », « Messieurs soyons clairs et sachons dire ce qu’ils veulent ouïr », « tout cela n’est qu’illusion, nous le savons mais jamais ne l’avouerons »

Si rien ne nous dit de nous arrêter ainsi, brelba de combat, suivez moi. 
Façonnez moi, dessinez, recréez moi. Montrez moi empli d’envie…. 

Envie de dire oui à tous les profits et à n’importe quel prix, oui à mes amis qui licencient qui favorisent l’économie. Argent et pouvoir sont rois dans ma demeure, ici c’est chez moi. 

Au la beur, il va falloir retourner, se salir les pieds, arborer nos plus beaux sourires pour ressortir. 
Serrer des mains, se montrer, pactiser avec nos alliés, falsifier la vérité.
« Partir en campagne car sonne le glas de la république. Toutes les bassesses sont permises et se justifient. Il faut laisser à l’élite cette place qui n’a pas de prix, le peuple quant à lui est à notre merci et a d’autres soucis ».